Comment choisir le meilleur poignard de survie ?

poignard de survie

Les passionnés de nature comme vous et moi ont besoin d’être bien équipés pour certaines épreuves incontournables du survivalisme, comme couper du bois pour se fabriquer un abri, faire du feu, pêcher et bien d’autres encore.

C’est pour cela que le poignard de survie est indispensable à notre équipement : comme la pelle de survie, il est multifonctions. Il peut même servir en cas extrêmes si vous ou quelqu’un de votre entourage est blessé, mais faites très attention, on n’est pas dans Grey’s Anatomy !

Et si nous ne sommes pas tous des pros en termes de poignards, cet article est là pour vous aider à opter pour le meilleur poignard de survie à intégrer dans votre équipement.

Les 3 meilleurs poignards de survie

Mora compagnon : le poignard à petite lame

Un très bon poignard, facile à transporter et aussi petit qu’un couteau de table. Un de ses avantages, c’est qu’il est facile d’utilisation grâce à sa taille. Il est pratique et facile à glisser dans votre sac à dos de survivaliste.

Un autre de ses atouts est son prix, puisque c’est un des poignards les plus compétitifs sur le marché. Son manche en gomme évite qu’il vous glisse des mains et vous offre une prise plus simple, ainsi qu’une bonne maîtrise de vos mouvements. Pour les amateurs, c’est un des poignards que je recommanderai le plus, car c’est un des moins chers et des plus malléables.

Morpilot : le couteau pliant 5-en-1

Ce couteau est sans doute un des plus pratiques. En effet, ce couteau multitâche vous permettra d’économiser un peu de place dans votre sac en remplaçant votre décapsuleur, par exemple. Son atout phare est qu’il est pliant et ainsi facile à ranger dans votre sac ou même dans votre poche.

Il peut même s’accrocher à votre ceinture par exemple, pour être rapide à dégainer et ne pas perdre de temps à le chercher dans votre sac. De plus, ce couteau abordable peut vous servir de brise-vitre, car on ne sait jamais dans quelle situation on peut se retrouver. Aussi, il est fourni avec une lampe torche à 5 niveaux de luminosité. Pratique, n’est-ce pas ?

Par contre, côté inconvénients, il faut noter que, comme il est pliant, il est bien moins résistant qu’un couteau fixe.

GERBER Bear Grylls : le couteau à lame fixe

Celui-ci est un peu plus cher que les autres, mais c’est un très bon investissement. Vous devez tous connaître Bear Grylls, célèbre aventurier, et s’il utilise ce couteau, je ne peux que vous le recommander. Son manche vous fournit une bonne prise en main. Couteau ni trop grand, ni trop petit, assez léger et peu, voire pas glissant du tout, que demander de plus ?

Sa lame de 12 cm est parfaite pour la survie. Il est fourni avec un sifflet, vous permettant de signaler votre présence en cas de besoin. Je dirai qu’un de ses rares inconvénients est son prix. Mais si vous êtes prêt à investir dans un poignard de survie, je vous le recommande vivement !

Quels critères pour acheter un poignard de survie ?

Le type de lame

Un des premiers critères à considérer est le type de lame de votre poignard de survie. On peut trouver toutes sortes de lames sur le marché : lisses, dentelées ou un mixte des deux. Sachez qu’une lame lisse coupe moins bien qu’une lame dentelée.

Ainsi, elle est plus adaptée pour couper de la viande qu’une corde, par exemple. Donc, si vous devez choisir la meilleure lame pour votre poignard de survie, je vous préconiserai de choisir une lame semi-dentelée.

La longueur de la lame

Un deuxième critère est la longueur de la lame. Une lame plus courte rend le couteau plus léger et plus facile à ranger dans votre sac, mais aussi moins performant.

Il faut donc préférer une lame de taille moyenne, soit environ 12 ou 13 cm. Je vous conseille d’opter pour une lame pas trop longue si vous souhaitez voyager léger sans perdre en efficacité.

La matière du manche

Le dernier critère que j’aimerai aborder pour le choix de votre poignard, c’est la matière du manche. Il existe beaucoup de manches faits de différentes matières, plus ou moins adhérentes, comme le caoutchouc, le thermorun, le micarta et de nombreux autres matériaux.

Le meilleur choix se porterait sur la matière la plus adhérente possible. Par exemple, le thermorun offre une bonne adhérence, même avec les mains mouillées, tandis que le nacre ou le nylon glissent beaucoup plus facilement. Dans les matières les plus adhérentes, il y a le polymère, le micarta et le caoutchouc, que je vous conseille.